Nausées

Les nausées sont causées par une hormone fabriquée par l’embryon, la gonadotrophine chorionique (HCG). Cette même hormone qui est détecté lors des tests de grossesse.
Les nausées et vomissements de  grossesse sont souvent présents en matinée mais peuvent survenir n’importe quand au courant de la journée.
 Elles ont des effets considérables sur les activités et l’humeur de maman. C’est en lien direct évidemment avec le bien-être de la future maman.
 La majorité des nausées débute vers la 4 semaines pour se terminer entre la 14-16 semaines. Malheureusement pour quelques femmes enceintes, ces nausées dureront jusqu’à la fin de la grossesse.

Voici quelques trucs qui vous aiderons :
-Prendre un jus avant de manger en vous levant.
-Mangez moins, plus souvent (petit repas surtout si vomissement)
-Prenez des collations entre les repas (fruits, noix), surtout ne restez pas l'estomac vide. La douleur ne sera que plus forte.
-Mangez ce dont vous avez envie.
-Hydratez-vous, surtout si vomissement.
-Bougez, faites de l’exercice. Allez marcher, prendre l’air.
- Reposez-vous.

La grossesse apporte son lot de maux. Vous en expérimenterez surement plus d'un!  Maux de dos, constipation, nausée, vous trouverez cela difficile parfois mais reposez-vous le plus possible.

Si vous commencez à perdre du poids, avertissez votre médecin. Il  a plus d’une solution  pour vous aider à traverser cette période difficile.

Diarrhée chez l’enfant

Dans les premières années de vie d’un enfant, il n’est pas rare que celui-ci soit victime de plusieurs épisodes de diarrhées. Cela fait parties des problèmes courant auxquels de nombreux parents doivent faire face. Saviez-vous que la diarrhée est généralement plus grave chez les bébés et les enfants que chez les adultes.

Bien que la diarrhée soit courante et souvent sans conséquence, il est important que les parents sachent dans quels cas ils doivent consulter.. De plus, le fait de connaitre certaines notions de base et mesure de prévention permettra d’empêcher que la diarrhée  n’entraine des problèmes plus graves chez l’enfant. Le terme enfant englobe à la fois les bébés et les enfants plus âgées.

Les raisons de consulter :

En présence de diarrhée ainsi que l’un des facteurs suivants, vous devez consulter un médecin dans les plus brefs délais.

-diarrhées sévères qui dure 2-3 jours ou plus.

-fièvre qui dure depuis 24 heures (39 Celsius ou 102 fahrenheit)  ou fièvre chez un enfant de 3 mois et moins.

-sang, mucus ou pus dans les selles.

-douleurs abdominales

-signe de déshydratation

-refus de manger ou boire pendant plusieurs heures.

-changement important de comportement.

Les signes de la déshydratation :

-bouche et lèvres sec

-soif intense

-diminution des urines

-yeux cernés ou creux

-fontanelle enfoncé

Si vous soupçonner que votre enfant se déshydrate, consultez un médecin dans les plus bref délais. La déshydratation chez le petit enfant est une condition grave qui nécessite des soins.

Les solutions de réhydratation

Les experts recommandent qu’une solution électrolytique buvable (de réhydratation), comme par exemple Pedialyte , soit donnée aux nourrissons et aux enfants souffrant de diarrhée afin de prévenir la déshydratation.

Pour la prévention de la déshydratation, les solutions de  réhydratation commerciales sont supérieures à n’importe quel autre liquide que vous pourriez donner à votre enfant. Évitez les jus et les boissons gazéifiées qi ne sont pas appropriées.

Si vous allaitez votre enfant ou lui donnez le biberon, continuez à la faire même s’il a la diarrhée. Dans le cas où vous lui donnez le biberon, il est bon de savoir que certaines professionnelles de la santé recommandent de donner une préparation sans lactose jusqu’à ce que la diarrhée cesse. Entre les boires, vous pouvez lui donner de la solution de réhydratation.

Les solutions de réhydratation se présentent sous forme liquide, en bâton glacé ou en poudre à reconstituer. Elles sont disponibles sans ordonnance. 

source: conseil d'ami, Jean-coutu

Intégration d'un poupon

Septembre est souvent synonyme de réorganisation et de maux de tête. Nouvelle routine, rentrée scolaire, le retour au quotidien mais pour les poupons la réalité est tout autre. Ce mois est plus précisément signe d’intégration. Une nouvelle routine a assimilé, de nouveaux liens à créer, un nouvel environnement à découvrir mais surtout une séparation qui peut être douloureuse parfois.

Ne vous découragez pas aux premiers  pleurs puisqu’il ne s’éternise jamais longtemps. L’intégration est un processus qui dure à peine quelques semaines au maximum.

Chaque intégration est unique car Il y a plusieurs facteurs à prendre en considération, dont l’âge du poupon, son tempérament, sa relation avec les adultes  et l’anxiété des parents. (Puisque dans la majorité des cas les parents transmettent involontairement leurs émotions à leur enfant) Il faut  laisser à votre petit ange le temps de s’adapter et de créer un lien d’attachement avec son éducatrice pour le sécuriser et le rassuré.

Plusieurs études dénotent que le lien entre maman et bébé est à son apogée entre 9-17 mois. C’est l’âge ou l’enfant est le plus implique émotivement avec sa mère.  Si vous calculer que l’intégration se fait dans la majorité des cas vers 12 mois, vous ne pourrai contourner l’angoisse relié à la séparation. Cela fait malheureusement parti du développement de votre petit.

Voici quelques  petits trucs pour  une meilleure intégration :

Avant l’entrée en garderie :

1-      Rencontrez l’éducatrice sans la présence de votre enfant si possible. De cette façon, vous serai plus concentré au dialogue et ça vous permettra de débuter une relation de confiance avec l’éducatrice.

2-      Visitez le service de garde avec votre enfant.

3-      Préparez un sac avec les effets personnels de bébé, couches, débarbouillettes humides, doudou, toutou, verre à bec, bouteille, linge de rechange, etc.

Il est fortement conseillé de faire une intégration progressive, surtout lorsqu’il s’agit d’un poupon. (0-18 mois) Si possible, la première semaine débutez par une heure ou deux par jour et ensuite continuez par des demi-journées. Particulièrement si votre enfant réagit à son nouveau milieu. Pour ses premières présences en garderie, je vous suggère de choisir  le moment de la journée ou votre enfant est le plus en forme, ou il est facile à distraire, à amuser, à stimuler.

Quand votre enfant semble bien s’adaptez, vous pouvez commencer à augmenter ses heures passés  à la pouponnière. Je vous conseille d’opter pour des jours consécutifs.  Je m’explique, les poupons n’ont pas de mémoire à long terme, ce qui veut dire que si vous  espacé ses visites, il aura vite fait d’oublier son aventure à la garderie. A l’inverse, si les jours se succède, il aura en tête son intégration, il y aura probablement des larmes mais il s’accoutumera plus vite au changement car il anticipera. Donc, il sera plus facile pour votre trésor de s’intégrer s’il va à la garderie les lundis, mardi, mercredi que s’il est présent le lundi, mercredi et vendredi.

Le jour J :

1-      Disposez devant votre petit sa doudou et son toutou préféré.

2-      Faites confiance aux éducatrices, ce sont des professionnels qui ont de l’expérience

3-      Écrivez sur une feuille l’horaire type de votre bambin.  Cela donnera une ligne directrice à son éducatrice pour mieux comprendre les besoins de votre enfant et mieux géré  l’adaptation de votre enfant.

4-      Entrez dans le local avec votre enfant pour  lui proposer  de nouveaux jouets et assoyiez-vous par terre pour jouer avec lui un moment.

5-      Rassurer votre enfant avant de partir, car votre manque de confiance est ressenti par celui-ci.

6-      N’amplifiez pas la situation en restant indéfiniment à la garderie. Si vous sentez que la crise est éminente, n’asseyez pas de le consoler avant de quitter. Il pleur parce qu’il anticipe votre départ, donnez votre petit dans les bras de son éducatrice et partez. Ne vous inquiété pas, elle saura le consoler.

7-      Restez derrière  la porte du local pour écouter si cela vous  rassure. Souvent, les pleurs ne durent que quelques minutes.

8-      Rassurez-vous au besoin en téléphonant à la garderie.

9-      Maintenez une routine constante pendant l’intégration, (ex. :ne pas ajouter un autre apprentissage en même temps)

Les étapes de l'intégration
Soyez patient puisque l’intégration comporte plusieurs phases. En moyenne, il faudra entre 2-5 semaines à votre petit amour pour finaliser l’ensemble des étapes.

 Voici un résumé des étapes du processus d’adaptation de l’enfant en milieu de garde:
Découverte de la nouveauté (1 à 5 jours) – Votre enfant découvrira son nouveau milieu, il sera curieux, excité, amusé par les nouveaux jouets. La séparation peut paraitre facile même s’il y a quelques pleurs.
Choc de la réalité (5 à 15 jours) – Votre enfant commence à comprendre que la garderie est là pour rester. De ce fait, il se peut que les crises s’intensifient.  Il peut déchanter et se rebuter à son milieu de garde. (retrait, opposition, agressivité)
Peur de l’abandon (5 à 15 jours, varie selon l’âge et leur anxiété) – L’enfant peut être anxieux, triste, refuse de dormir ou de manger, il pleurs de façon intermittente. Je sais, ce sont des moments difficile pour les parents mais ne douter pas, le meilleur est à venir. Continuer de rassurer votre enfant et soyez confiant(e).
Acceptation et intégration (dernière étape) – Votre enfant est maintenant bien dans son nouvel environnement. Il participe aux activités, rit, s’amuse et développe ses habiletés sociales. La séparation consiste maintenant à quelques larmes qui sont vite séchés.

Noyade...

Saviez-vous que la majorité des décès surviennent dans les piscines familiales?

Une étude de la Croix-Rouge canadienne révèle que les nourrissons et les tout-petits de 1 à 4 ans représentent le plus haut taux de mortalité par noyade au Canada.

Selon un porte-parole du bureau de la Croix-Rouge canadienne, Rick Caissie, directeur national, Programmes de prévention des traumatismes, Croix-Rouge, " les noyades et quasi-noyades représentent une tragédie particulièrement déchirante lorsqu'on sait que la plupart de ces événements auraient pu être évités. Les tout-petits sont plus à risque à cause de leur curiosité naturelle. Même s'ils sont capables de marcher, ils manquent de stabilité et ont tendance à ne pas être conscients des risques qui les entourent. Ils n'ont pas non plus la capacité de se sortir d'un mauvais pas. "

Pour diminuer le nombre de noyades chez les tout-petits et sensibiliser davantage les propriétaires de piscine, la Croix-Rouge recommande d'appliquer les normes de sécurité suivantes à l'égard des piscines résidentielles :

1. Des barrières à fermeture et à verrouillage automatiques.
2. Entourer complètement les piscines extérieures d'une clôture appropriée.
3. Un téléphone et des dispositifs de sauvetage près de la piscine.
4. Une clôture et une barrière d'une hauteur minimale de 1,2 mètre, avec verrou du côté piscine.
5. Une formation en secourisme et en RCR pour les propriétaires de piscine.
6. Une surveillance vigilante.
7. Des cours de natation et de sécurité aquatique.

Tabac et grossesse

Bon c’est décidez, j’arrête de fumer!

Mais, quel bon moment pour vous défaire de cette mauvaise habitude maintenant que vous êtes enceinte.  Fini les excuses, les rechutes, car on le sait, la cigarette a un impact direct sur le bien-être et le bon développement de votre bébé.

Voici quelques conséquences directes de la cigarette sur votre bébé :

-Le risque de fausse couche passe de 10% chez une femme non-fumeuse à 20% pour une femme fumeuse.

-Il y a plus de risque d’accouchement prématuré dû à une rupture avant terme des membranes.

-La cigarette diminue l’apport en oxygène disponible pour votre enfant. Ce qui nuit directement au développement adéquat du cœur, du cerveau et de plusieurs autres organes internes de votre bébé.

-Il y a plusieurs études qui relient la cigarette avec le déficit d’attention, les problèmes d’impulsivité et d’hyperactivité.

- Le tabagisme augmente  les infections respiratoires et l’asthme chez l’enfant. (Bronchite, bronchiolite, otite…)

Il n’y a aucune contradiction d’arrêter de fumer pendant la grossesse. Évidemment, il est préférable d’arrêter pendant le premier trimestre. Ainsi, votre bébé bénéficiera de plusieurs mois pour se développer convenablement.

Il y a plusieurs méthode pour vous aider à arrêter de fumer, parlez-en a votre médecin. Il pourra vous conseiller.

Crème solaire

Le soleil nous apporte de la vitamine b6 qui est nécessaire au corps humain. Il faut cependant protéger la peau de nos enfants car les rayons UV déshydrate la peau et peuvent causer des allergies. Le soleil est à son apogée entre 10h et 14h, il est donc important de minimiser l’exposition entre ces heures.

Avant 6 mois :

Il n’est pas recommandé de mettre de la crème solaire aux bébés. Car cela pourrait causer des réactions allergiques.

Après 6 mois :

Appliquez la crème au minimum 30 minutes avant de sortir à l’extérieur et en réappliquez aux 2 heures. Il est important de remettre de la crème solaire après chaque baignade car l’eau a pour effet de la dissoudre.

Pour contrer les insolations, il est important de couvrir la tête de bébé avec un chapeau.
Finalement, n'oubliez pas bien hydrater votre enfant! Proposez- lui souvent des liquides.

Massage

Si le toucher entre les êtres humains se pratiquaient plus souvent, la société serait-elle meilleure?

Tout au long de son développement, votre enfant a besoin d’un entourage aimant afin de devenir un être sain. Le toucher constitu une des formes d’apprentissages privilégiées de l’enfant. Comme pour le bébé qui met tout ce qu’il peut dans sa bouche, le toucher permet aux enfants d’apprendre et de découvrir leur univers.

L’utilisation du toucher et du mouvement permet l’acquisition de compétences transversales et comble plusieurs besoin fondamentaux au niveau social et affectif.

Pourquoi le massage?

-Être touché est une excellente façon d’être reconnu. Le toucher aide à favoriser le développement du lien d’attachement. Le toucher, c’est le premier sens à se développer et le dernier que nous perdons.

-Le toucher est un besoin élémentaire. Des expériences ont montré que les humains peuvent même aller jusqu’à mourir si le toucher est absent de leur vie.

-Le toucher est un facteur extrêmement important dans le développement du système nerveux.

Les bienfaits du massage :

-Les enfants sont plus calmes.

-Améliorent la concentration.

-Meilleure estime de soi.

-Diminution de la brutalité.

-Aide l’enfant à reconnaitre le bon du mauvais toucher.

-Favorise de meilleurs contactes sociaux.

-Enseigne le respect.

D’après des études comparatives, le cerveau d’un enfant qui a reçu des massages ou qui a été toucher souvent est de 20%-30% plus stimulé.

Source : Centre de Naturothérapie, Granby

Apprendre à votre enfant à jouer seul.

 Votre enfant s’amuse difficilement sans vous? Lorsque vous quittez la pièce, il vous cherche des yeux et vient vous rejoindre aussitôt, puis demande votre attention. Vous aimeriez développer ses capacités afin qu’il puisse jouer seul sans votre présence continue.

Au début, il faudra être réaliste, avoir de petites attentes. Plus il y a de jouets dans la pièce, plus le défi est grand car il y a trop de choix. Je vous conseille donc de cacher la majorité de ses jouets. Laissez à sa disposition que deux bacs de jeux. Votre enfant va moins s'éparpiller et va être plus apte à se concentrer. Changez les jouets quand vous voyez que l’intérêt de votre enfant diminue. Montrez- lui comment jouer, on prend pour acquis que les enfants savent d’instinct qu’une auto roule par terre en fessant vrommm. C’est faux, ils apprennent par imitation, c’est parce que papa ou maman s’est assis avec lui et lui a montré que l’enfant reproduit le geste.

La demande est trop grande pour votre enfant si vous lui dite simplement d’aller jouer. C’est comme si vous lui demandiez d’aller faire un gâteau au chocolat. Pour lui, c’est le néant, il n’agit pas puisque votre requête est incompréhensible à ses yeux.

Voici quelques trucs :

-          Cacher ses jouets(ou il n’a pas accès)

-          Offrir deux choix (auto ou casse-tête)

-          Débuter le jeu avec lui (prenez plaisir à jouer)

-          Retirez-vous peu à peu (Ex.je vais me moucher, je reviens tout de suite.)

-          observez

Évidemment au début de la transition, vous aurez à peine quelques secondes pour vous moucher. Votre enfant viendra vous rejoindre rapidement. Revenez-vous assoir et continuez de jouer. Après 10 minutes, inventez-vous un autre prétexte, partez et observez. Il n’existe pas d’intervention miracle, c’est à petite dose que votre enfant s’organisera sans vous. Mais si vous maintenez une constance, ça viendra tout seul.

Plus votre démarche avancera, moins de temps vous passerez à jouer avec lui et il finira par faire des choix et s’organiser seul. Ne soyez pas surprise, si au début vous devrez jouer une demi-heure avec lui avant de pouvoir quitter la pièce.

 N’oubliez surtout pas de renforcir le comportement que vous désirez. Soit jouer seul. Il aura envie de se faire féliciter de nouveau. Il reproduira donc ce comportement pour vous faire plaisir et par la suite, il y trouvera un certain plaisir personnel. Le mot de la fin, soyez patiente et maintenez une constance.

L'indice D'APGAR

Le score Apgar consiste en une note globale attribuée à un nouveau-né suite à l’évaluation de cinq éléments spécifiques qui sont le rythme cardiaque, la respiration, le tonus, la couleur de la peau et la réactivité. Chacun des éléments est noté à 0, 1 ou 2 points, selon les conditions observées. Le résultat total permet l’appréciation globale de l’état de santé du nouveau-né. Le résultat maximal est de 10, suggérant la meilleure condition de santé possible, alors qu’un score en-dessous de 7 réfère à une détresse. Le tableau suivant démontre le nombre de points alloués pour chacun des éléments observés :
   

L'indice d'Apgar est la somme de l’ensemble des cinq notes calculées. La majorité des nouveau-nés obtiennent un score entre sept et dix, ce qui est tout à fait normal. Cependant, plusieurs facteurs peuvent aussi influencer l'APGAR de votre bébé. Par exemple la présence de méconium (première selle) dans le liquide amniotique, épidurale, etc... Un résultat inférieur à 7 points permettra à l’équipe médicale de déterminer rapidement le genre de soins ou d’observations dont votre bébé a besoin.

Terrible 2

À cet âge, les enfants ne peuvent pas vulgariser leurs émotions. Alors viennent les cris, les pleurs et les crises. C’est à nous les parents de leur apprendre à consolider leurs sentiments. De là, l’importance des interventions que vous choisirez.

Contrairement à ce que l'on croit, il ne s'agit pas de caprices ni de savoir qui commande...

L'enfant grandit énormément durant cette phase (de 18 mois a 36 mois), souvent le plus visible à 2 ans et demi.  L’enfant est constamment prit entre pleins d’envies contradictoires et se débat pour essayer de les gérer. Il veut être grand et faire ses choses tout seul, mais il veut aussi rester petit pour être protégé.

Ce qu’il faut savoir est que l’agressivité chez l’enfant est normale. Environ 70% des enfants ont des comportements agressifs tel que mordre, frapper, lancer les jouets, etc.

Il faut simplement ne pas se décourager et être constant dans notre approche.

L’enfant entre 18-36 mois, canalise environ 80% de son agressivité à vie. Ce qui renforce encore plus votre présence pour lui apprendre à bien gérer les comportements qui sont non-acceptables.

Pensez à toutes les nouvelles choses qu’il a envie d’explorer, de découvrir, d’observer. À chaque fois, il se fait dire non. Il a envie de se sentir grand mais ce sentiment est  brimé. Cet autonomie qu’il cherche à développer est sans cesse freiné pas un NON.

Voici quelques trucs :

• Soyez fermes sur les choses que vous calculer importantes pour son éducation et soyez très patients pour maintenir une constance.
• Parlez-lui en vous abaissant à son niveau et en le regardant dans les yeux pour qu'il se sente interpellé.
• Soyez clairs et précis, une consigne à la fois. Car leur cerveau est encore trop petit pour assimiler plusieurs consignes à la fois.
• Laissez-le développer son autonomie
• Offrez-lui des choix. Est-ce que tu mets le chandail rouge ou le bleu? L’enfant se sentira considérer car vous lui offrez un choix, il développe ainsi son autonomie et limitera le nombre d’interventions.
• Laissez-le explorer et observer. Sécurisez évidemment votre maison en conséquence.
• Intervenez toujours en lien avec l’acte. S’il renverse son verre de jus, demandez-lui de l’essuyer. Il est important de toujours intervenir conséquemment avec la situation. Donc, la conséquence suit le geste posé.

Lorsqu’il se calme, prenez-le dans vos bras et expliquez-lui votre intervention. Maman ne veut pas car je ne veux pas que tu te blesse, il y a de la vitre dans l’armoire....

Quand les crises subviennent, ne vous fâchez pas. N’oubliez pas que vous êtes sont modèle, il prendra exemple sur vous. Assumer vos frustrations, allez prendre de l’air si la tension est lourde.

Dites-vous que les crises sont le seul moyen que votre enfant dispose pour s’exprimer.

Ce n’est pas une guerre de pouvoir. Rassurez-vous en vous disant que plus le langage fera son apparition, moins les crises seront fréquentes.

Les frustrations font partie de l’apprentissage au quotidien. C’est décourageant parfois, mais dites-vous que c’est mieux qu’il apprenne à les gérer petit que rendu à l’adolescence.

Alors, bon courage!!!

Arrivée d’un 2e enfant

Plusieurs enfants ne réagissent pas tout de suite à l'arrivée d'un nouveau-né. Mais lorsqu’ils voient que cette petite chose est pour rester, c’est à ce moment que ça se complique. Il faut leur donner le temps de comprendre que vous l’aimez autant qu’avant et que les choses ne sont pas si différentes.

Petits-trucs pour vous faciliter la tâche:
Vous pouvez l’inclure dans les soins de bébé, demandez lui de vous aider à changer la couche, à lui donner son bain… Il se sentira important. Renforcez-le en lui exprimant de la gratitude pour l’aide qu’il vous apporte. Vous pouvez aussi demander à votre famille et vos amis proches de prendre le temps d’accueillir l’aîné avant de se lancer sur le nouveau-né. Ce que plusieurs personnes sont portés à faire. Pour finir, il faut éviter le plus possible de changer sa routine car c’est sa sécurité. Si avant la naissance du dernier, vous aviez l'habitude de lui racontez une histoire avant le dodo. Il faut continuer de le faire. Passez du temps de qualité seul avec lui. Ne vous en faites pas, tous les enfants finissent par accepter, il faut simplement leur donner du temps.

Valise pour l'hôpital

Il est important de vous faire une valise plusieurs  semaines avant la date d’accouchement prévue.  On ne sait jamais quand bébé va pointer le bout de son nez. Bébé averti  rarement avant son arrivé. C’est pourquoi, l’intérêt d’être prête pour toute avenue. Environ 4 semaine avant votre date prévu d’accouchement, il vous faudra commencez à rassemblez tous vos articles afin d’être préparez pour le jour J.

Voici un aide-mémoire pour savoir ce qui est important d’apporter :

Pour maman

-peignoir

-jaquette ou pyjama (si maman veut allaiter, prévoir une jaquette en conséquence)

-2-3 sous-vêtements

-2 bon soutien-gorge, si vous allaitez, soutien-gorge d’allaitement

-bas, pantoufle

-ensemble de maternité pour votre sorti de l’hôpital, car malheureusement vous n’aurez pas perdu tout le poids de votre grossesse

-une montre afin de noter les heures de boire du nourrisson

-une trousse de toilette

(Shampoing, savon, brosse à dent, dentifrice, crème, maquillage, …..)

-serviette hygiénique

-compresse d’allaitement pour les éventuelles montés de lait

-sac pour les vêtements sale

Dernière minute :

-bouteille d’eau

-collation

Pour bébé :

- 6 pyjamas

-4 cache-couches( camisole)

- couches

-débarbouillettes humides

- bas

-un bonnet

-2-3 couvertures

-biberon pour celles qui n’allaitent pas

Pour papa : apporter le siège d’auto, le jour du départ

 À l’hôpital :

-carte d’assurance maladie

-preuve d’assurance privée (si tel est le cas)

-liste de numéro de téléphone des personnes à rejoindre après l’accouchement

-appareil photo

-caméra

Apprentissage à la propreté(2-4 ans)

Votre enfant, doit tout d’abord avoir de l’intérêt pour le petit pot ou la toilette, c’est selon votre choix. Il pourrait être intéressant de laisser le petit pot à portée de ‘‘fesses’’ et de l’inclure dans la routine du changement de couche. Cela vous donnera une bonne idée de son intérêt.

Lorsque vous observez 2 à 3 signes de la liste qui suit, c’est un bon indicateur que votre enfant est prête pour la transition.

·         La couche est sèche pendant au moins deux heures

·         Monte une marche à la fois

·         Dit les mots pipi et caca

·         Est  inconfortable avec sa couche souillée

·         Baisse et monte ses pantalons seul

·         Suit une à deux consignes consécutives ; ex. prend ton chandail et donne-le moi.

·         Peut répondre par oui ou non à une question en connaissant le sens de ses mots.

Donc voilà, n’oubliez pas que lorsqu’on commence intensivement à mettre un enfant propre, il faut être constant, pas de relâche avant que se soit bien acquis.

Conversation entre jumeaux

Que se raconte ces petits jumeaux? À vu d'oeil, ils ont vraiment beaucoup de plaisir et visiblement, il y a un échange. 

Est-ce qu'il s'invente une histoire sur la chaussette qui est perdue? Ou sont-ils en train de rire de maman  qui cherche le bas perdu et qui est sous le poêle? Hi,hi

Introduction à la lecture

À partir de quel âge peut-on introduire les livres aux enfants?

Introduction est citée ici dans un contexte d'initiation. L'apprentissage de la lecture est fréquemment développé vers l’âge de 5-6 ans. C'est lors de la rentrée scolaire que les professeurs de maternelle intègre la reconnaissance des lettres et  l'association des mots. Mais c'est en première année que la lecture telle qu'on la connaît, prend tout son sens.

Dès leur plus jeune âge, les enfants ont un intérêt pour les livres. Les couvertures colorées avec plein de dessins à l’intérieur, c'est vraiment attrayant pour le sens de la vue. À quelques semaines à peine, vous pouvez déjà débuter l'introduction aux livres tel que connus.

Quand on leur fait la lecture, ce sont les couleurs, les intonations de voix, le visage qui exprime plusieurs émotions, c'est très intéressant et stimulant pour un enfant.

Évidemment, la lecture n'est pas acquise encore, mais vous pouvez éveiller leur intérêt en leur donnant des livres plastifiés, cartonnés ou bruyants.  Il ne faut pas avoir peur de les laisser expérimenter, de les laisser les prendre, les mâchouiller... Ça aussi fait partie de l'introduction aux livres. Dans un contexte où l'enfant joue avec, il est préférable de mettre à disposition des livres plastifiés, qui sont les premiers à introduire dans le cadre du jeu proprement dit. Car les enfants peuvent les mâcher sans craindre de les briser ou de se blesser. Ils sont flexibles et maniables.

Il faudra choisir des livres appropriés pour l'âge de votre petit. Plus l'enfant est jeune, plus le texte est court. D'emblée, un livre adapté pour un bébé devrait contenir un mot par page ou par image.

Laissez à sa disposition des livres, des photos, des images et des catalogues. Il aura besoin de votre aide pour tourner les pages, décrire les images, vulgariser les textes. Soyez créatif, ajoutez une marionnette, un toutou, changer votre voix pour jouer des personnages, émerveillez-vous avec lui. N'ayez pas peur d'avoir l'air fou, votre bébé adorera tout ce que vous faites! Afin de développer un intérêt, n'oubliez pas que tout doit se faire dans le jeu. Votre enfant est le premier agent de son développement, alors s'il a du plaisir, il en redemandera...